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Comme si nous bourrer le crâne avec la pornographie que fut le premier « mariage » ganymède retransmis dans toute la France n’était pas suffisant, l’Etat socialiste fait tout pour vous rappeler à chaque instant que les options qu’il a prises sont celles de la débauche et de la poursuite perpétuelle du moindre désir : ainsi de la région Languedoc-Roussillon, naturellement aux mains des socialistes depuis belle lurette (quoique on se demande s’il en eût été ainsi avec le chrétien Georges Frêche), qui lance le fabuleux projet « Pass’Contraception » (film de présentation d’une vulgarité finie en prime).
Outre le fait qu’on se demande pourquoi ces idéologues ne l’ont pas appelé Contraception Pour Tous, voilà ce qu’il en est dans les lycées de la République : distribution gratuite de contraceptifs masculins, féminins, en attendant ceux spécifiques aux « transgenres ». Le motif ? Les filles avortent trop. La solution est toute trouvée, il faut donc rendre l’acte sexuel toujours plus accessible. Rien, naturellement, ne vient troubler les beaux raisonnements des socialistes, pas même l’idée qu’en rendant la chose si automatique, le soir où la jeunesse tant célébrée se retrouvera en défaut de tous ces gadgets, il lui sera bien difficile de s’abstenir. Et va pour un avortement de plus. Sur la facture de tous les autres, solidarité exige.
Le tout se fait dans le plus strict anonymat, sans quoi les parents, ces vils réactionnaires, seraient bien fichus de vouloir user de leurs prérogatives d’éducation de leurs enfants. L’État est somme toute un sympathique grand frère. Autre fait notoire, quatre chèques pour les garçons, sept pour les filles. C’est bien connu, les filles sont les grandes perdantes de la sexualité. Surtout, ne nous posons pas de question sur ce que cela peut impliquer quant à la nature de la sexualité féminine, ce serait sexiste, porteur de « stéréotypes genrés », et puis homophobe, tant qu’on y est.
En 2013 en France, les dirigeants socialistes, et leurs alliés de la droite progressiste, ont abdiqué depuis longtemps à chercher le bien commun. Pour donner l’illusion de se soucier un tant soit peu de son « bien-être », ils reprennent la formule efficace des Romains : Panem et Circenses. Assurés que l’État prend soin de la satisfaction de leurs désirs sexuels, les Français, ces veaux, oublieront bien vite que tout part en fumée.
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