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La règle de saint Benoît ou le cœur de la vie monastique européenne

Parmi les règles monastiques occidentales, celle de saint Benoît occupe une place éminente. Avec la règle de saint Augustin, elle a connu un succès immense au sein des ordres monastiques ou religieux puisque les divers ordres bénédictins en faisant usage ont été prédominants dans le monde monastique catholique entre le Ve et le XIIe siècle. Pendant près de sept cents ans, la règle bénédictine a guidé les moines d’Europe occidentale durant leur recherche de Dieu. Cette règle constitue l’essence des monastères bénédictins qui ont eux-mêmes joué un rôle décisif dans le développement au Moyen-Âge de la chrétienté occidentale. En tant que fondement organisationnel de nombreux ordres religieux, elle a donc participé directement à l’essor de la civilisation chrétienne au début du Haut Moyen-Âge. Pour l’historien Jean-Pierre Moisset, « Ce qui en fait l’originalité est son esprit d’équilibre. Loin d’une recherche de l’exploit ascétique à l’orientale, elle propose un chemin de perfectionnement adapté aux capacités des moines » [1]. Cet équilibre se reflète dans l’aphorisme bien connu Ora et labora (« Prie et travaille »), qui n’est d’ailleurs pas de saint Benoît puisqu’il a été inventé par un abbé bénédictin allemand au XIXe siècle. La véritable devise qu’a donnée St Benoît à l’ordre bénédictin est : « Que Dieu soit glorifié en toute chose. » [2] Bien qu’ayant marqué profondément l’Occident chrétien, la Règle de saint Benoît demeure souvent inconnue du chrétien contemporain. Avant de s’intéresser à son contenu et son éventuelle application laïque, il n’est pas inutile de revenir sur la vie de son concepteur.

Qui était Saint Benoît de Nursie, le patriarche des moines d’Occident ?

Benoît naît dans la ville italienne de Nursie en 480 après J-C. Issu d’une famille noble romaine, il part faire ses études à Rome qu’il quitte pour se consacrer à Dieu [3]. Benoît passe trois ans retiré du monde en compagnie d’un moine prénommé Romain. Satisfait de sa vie d’ermite, il est sollicité par un groupe de religieux qui venaient de perdre leur Père Abbé. Irrités par la règle que tente de leur imposer le saint, ils tentent de l’empoisonner. Le saint de Nursie déjoue le stratagème en faisant un signe de croix sur la carafe de vin qui se casse. Il décide de retourner dans les montagnes où il forme des disciples qui venaient à lui. Saint Benoît fonde un monastère dans les collines de Subiaco. Le succès du saint fait des jaloux. Parmi eux, le Père Florent qui fait tout pour dissuader les gens d’aller le consulter. Il lui envoie du pain empoisonné qu’un corbeau emportera au loin et tente de distraire les moines en mettant des filles nues dans les jardins. Craignant pour ses moines, Saint Benoît décide de quitter le monastère pour en fonder un autre au Mont-Cassin où il passera le reste de sa vie.

C’est dans ce lieu qu’il s’attèle à la rédaction de la règle. Pour sa composition, le saint patron de l’Europe s’inspire de la Sainte Écriture, de la jeune tradition monastique, d’une récente règle monastique gauloise nommée la Règle du maître, du traité de Cassien sur les cénobites et des pères de l’Église comme saint Augustin et saint Basile le Grand, ainsi que de saint Léon Ier le Grand, saint Césaire d’Arles et saint Cyprien. Le modèle de St Benoît est la famille : les moines sont des frères placé sous l’autorité d’un père Abbé venant de l’araméen Abba signifiant « père ». Il ne s’agit pas d’étudier de manière détaillée et rébarbative le contenu de la règle du saint de Nursie mais plutôt de tenter d’en comprendre l’essence à travers l’étude des trois vœux prononcés par les moines bénédictins lors de leur entrée dans l’ordre : stabilité, conversion dans les mœurs et obéissance.

Le vœu de stabilité : l’appartenance définitive

La stabilité se dit de l’état consistant pour le moine à dépendre pour toujours de sa communauté. Pour Dom Guéranger, « La stabilité fait toute l’institution bénédictine. » Symbole de l’engagement monastique total, elle s’apparente à de la persévérance et à de la permanence dans un état de vie déterminé. Comme le proclame le Christ dans le saint Évangile : « Celui qui restera ferme jusqu’à la fin sera sauvé. » [4] Lorsque le moine se maintient dans son état monastique, il contribue à améliorer son rapport existentiel à Notre-Seigneur Jésus-Christ. Si pour des raisons personnelles un moine veut changer de communauté, il devra « changer de stabilité », ce qui suppose un vote favorable de la communauté qu’il quitte et de la communauté où il désire s’établir.

Le chapitre 58 de la Règle évoque les multiples épreuves que doivent supporter ceux qui souhaitent embrasser la vie religieuse et dédier leur vie au respect de la règle monastique. Le candidat doit d’abord attendre quelques jours avant de pouvoir entrer au sein du monastère. Il est alors dirigé vers l’hôtellerie et pris en main par un ancien qui va le tester. Comme le rappelle saint Benoît : « Voyez donc si les esprits viennent de Dieu. » [5] Au bout deux mois, on lui fait lire une première fois la règle. S’il souhaite continuer, l’opération sera renouvelée après six et douze mois. Il sera alors accepté dans la communauté et pourra prononcer ses vœux :

« Avant d’être reçu, il promettra devant tous, dans l’oratoire, stabilité, vie religieuse et obéissance, en présence de Dieu et de ses saints ; afin que si un jour il faisait autrement, il serait condamné par Celui dont il se serait joué. »

Naturellement, il ne peut exister de stabilité sans patience. Celle-ci permet au moine de s’associer plus pleinement aux souffrances du Christ « afin de mériter d’avoir part également à son règne » [6]. Le symbole de cette stabilité se matérialise par la stalle qu’occupe le moine dans le chœur de l’Église en fonction de son ancienneté. Ce vœu de stabilité est ce qui distingue les ordres monastiques et contemplatifs, où il est prononcé, des ordres religieux et actifs qui apparaîtront au XIIe siècle (dominicains, franciscains, augustins ou carmes), où il ne l’est pas.

Cette stabilité monacale se conjugue avec l’obligation d’avoir une journée rythmée par la méditation et le travail. Le moine doit assister quotidiennement aux sept offices divins (Laudes, Prime, Tierce, Sexte, None, Vêpres et Complies) [7], réciter chaque semaine le psautier et les douze psaumes lors des vigiles nocturnes. Concernant la psalmodie, « il s’agit donc d’abord de croire, ensuite de se souvenir de ce que l’on croit (et en qui l’on croit) pour enfin actualiser sa foi. » [8]. Au sujet de la prière, saint Benoît précise : « Sachons bien que ce n’est pas en multipliant les paroles que nous serons exaucés, mais par la pureté du cœur et les larmes de la componction. La prière doit donc être brève et pure, à moins que, par une inspiration de la grâce divine, nous ne nous sentions portés à la prolonger. » ) [9]

À côté des offices et de la prière, le moine doit s’atteler au travail manuel et à l’étude. La règle l’édicte précisément : « L’oisiveté est ennemie de l’âme. Les frères doivent donc consacrer certaines heures au travail des mains et d’autres à la lecture des choses divines. C’est pourquoi nous croyons devoir régler comme il suit ce double partage de la journée. » [10] Même si le travail était à l’époque méprisé, contrairement au monde moderne qui en a fait une idole, St Benoît se fonde sur la tradition apostolique et érémitique pour faire du travail une nécessité pour les moines afin qu’ils échappent à la faim et qu’ils vivent en autonomie. Le travail manuel ne doit pas faire oublier le travail spirituel, la lectio divina : les religieux doivent se plonger dans la Sainte Écriture, l’étude des pères de l’Église et maîtres spirituels. Complément de cet exercice, la méditation, c’est-à-dire « la répétition orale de textes bibliques appris de mémoire » [11], accompagne quotidiennement le moine. « C’est donc un exercice dans lequel intervient tout l’homme : le corps (la bouche prononce le texte), la mémoire (qui retient ce qui est lu), l’intelligence (qui s’efforce de pénétrer le sens), la volonté (qui se propose de mettre en œuvre les enseignements reçus). » » [12]

La conversion des moeurs ou la voie de la purification

Ce vœu a fait l’objet de nombreuses interprétations. Il s’apparente à la promesse d’une conversion, d’un changement de vie, l’abandon des habitudes du monde. En clair, il s’agit du détachement des passions et des biens, ce qui inclut le vœu de chasteté et le vœu de pauvreté. La finalité est bien sûr de se rapprocher de Dieu. Saint Benoît rappelle qu’il faut « se rendre étranger aux préoccupations du monde et ne rien préférer à l’amour du Christ », haïr les désirs de la chair, aimer la chasteté et ne pas abandonner l’amour du prochain [13]. La règle bénédictine est quasiment muette sur la chasteté. À plusieurs endroits, il est simplement fait mention que le frère ne peut plus disposer de son propre corps [14] et il lui est rappelé qu’il doit se préserver des désirs de la chair [15]. La pauvreté des moines implique qu’ils ne possèdent rien en propre afin de se dégager « de ce vice de la propriété » [16]. Ils doivent attendre tout du Père Abbé qui doit se focaliser sur les plus nécessiteux comme les malades par exemple. Les biens matériels ne doivent pas devenir la finalité de leur vie au point d’en oublier Dieu. Afin que règne la charité dans la communauté monastique, les tâches ménagères doivent être partagées à tour de rôle [17]. Tous les moines doivent être impliqués à l’exception de certaines fonctions ou des malades.

Pour éviter les tentations de la chair, les cénobites doivent garder un usage modéré de la nourriture [18]. Ils peuvent prétendre à cinq cents grammes de pain par jour, deux repas cuits et un troisième repas composé de fruits et de légumes frais. Interdiction leur est faite de consommer de la viande de quadrupède. Par contre, ils sont autorisés à consommer environ 25 cl de vin par jour mais ceux qui n’en consomment pas recevront une récompense. D’après le saint de Nursie, « Nous lisons, il est vrai, que le vin ne convient aucunement aux moines ; mais comme on ne peut en persuader les moines de notre temps, convenons du moins de n’en pas boire jusqu’à satiété, mais avec modération, car le vin fait apostasier même les sages. »

La charité des frères entre eux doit aussi être appliquée au monde extérieur [19] : « Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ […] Dans la manière de saluer, on témoignera à tous les hôtes une profonde humilité : devant ceux qui arriveront ou partiront, on inclinera la tête, ou on se prosternera, le corps par terre, adorant en eux le Christ même qu’on reçoit. »

Le jeûne sera rompu et il sera procédé au lavement de leurs pieds. Les hôtes doivent être traités avec la plus grande des sollicitudes. Le Chapitre 72 de la Règle résume la charité qui doit régner au sein du monastère :

« Comme il y a un zèle mauvais et amer, qui sépare de Dieu et conduit à l’enfer : de même il y a un bon zèle qui sépare des vices, et conduit à Dieu et à la vie éternelle. Les moines s’exerceront donc à ce zèle avec un très fervent amour : Ils se préviendront d’honneur les uns les autres ; se supporteront avec une extrême patience dans leurs infirmités, tant physiques que morales, et s’obéiront à l’envi. Nul ne recherchera ce qu’il juge lui être utile, mais plutôt ce qui l’est aux autres. Ils s’accorderont une chaste charité fraternelle ; craindront Dieu avec amour, et aimeront leur Abbé d’une charité humble et sincère. Ils ne préféreront absolument rien au Christ, lequel daigne nous conduire tous ensemble à la vie éternelle ! »

Le vœu d’obéissance : le chemin vers l’humilité

Pour saint Benoît le moine ne pourra atteindre la vertu d’humilité, si nécessaire à sa sanctification, qu’en passant par l’obéissance à la Règle et à des supérieurs. À l’image du Christ qui a fait la volonté de son Père, le moine doit suivre les prescriptions de la Règle. Il s’agit d’obéir sans agitation désordonnée, sans retard, sans tiédeur, avec le cœur et dans la joie [20]. L’obéissance est due à l’Abbé, véritable représentant du Christ dans le monastère qui doit montrer l’exemple. En contrepartie, il est responsable de ses brebis comme le père de famille l’est de ses enfants. L’Abbé doit appliquer une égale charité à ses enfants tout en usant de la discipline en fonction des mérites de chacun [21]. Bien entendu, il a l’obligation de prendre en compte les différents caractères de leurs ouailles afin de faire passer au mieux son enseignement. L’obéissance est également due aux autres frères, en particulier aux anciens [22] en toute charité et avec empressement. Elle implique aussi de respecter le rang de chaque moine selon leur entrée dans le monastère, à l’exception des postes particuliers nommés par l’Abbé, qui est élu par la communauté, comme le prieur ou le cellérier.

Ce que les commentateurs ont appelé un « code pénitentiel » concerne la partie disciplinaire de la Règle de St Benoît, c’est-à-dire les sanctions attachées aux faits répréhensibles [23]. On peut constater malgré tout un aspect proportionné dans les peines applicables et de la sollicitude vis-à-vis du frère puni. En présence d’une faute légère, le frère est privé de la participation à la table commune et ne peut prier oralement à l’oratoire. S’il s’amende, il sera pardonné. En cas de faute grave, le moine est tenu de rester étendu la face contre terre à la porte de l’oratoire jusqu’à ce que l’Abbé estime que cela suffise. Le moine récidiviste devra subir l’épreuve des coups de bâton. Si les sanctions n’opèrent pas le résultat escompté, l’élément perturbateur sera exclu de la communauté « de peur qu’une seule brebis malade ne répande pas la contagion dans le troupeau tout entier. » Malgré l’exclusion, le fils prodigue peut revenir s’il en fait la demande à condition de prendre le dernier rang pour tester son humilité et de promettre de ne pas réitérer sa faute.

L’obéissance est étroitement liée à la vertu d’humilité [24]. L’humilité est comme une échelle à gravir vers le ciel. L’orgueil nous en fait trébucher. Il faut au premier degré de l’échelle chercher à toujours être dans la crainte de Dieu et de son jugement et se rappeler souvent les âmes damnées qui brûlent en enfer. Le moine doit veiller à ne pas pécher en esprit, en parole et en acte. Il doit agir sous le regard de Dieu dont les anges lui rapportent toutes ses actions et ses omissions. « La mort est postée à l’entrée même du plaisir », rappelle la Règle. L’abandon de sa volonté propre pour aller vers la volonté du Seigneur constitue son objectif s’il souhaite atteindre le second degré de l’humilité. Le troisième palier est constitué par l’obéissance envers ses supérieurs, le quatrième par la patience dans l’exercice de cette obéissance. Le sixième degré de l’humilité consiste à trouver de la joie dans n’importe quelle tâche confiée, même la plus vile. L’étape suivante est franchie lorsque le frère se considère comme le dernier des hommes. Dans le cadre du huitième palier, le moine est invité à ne suivre que la règle et l’exemple de ses supérieurs. Ensuite, il lui est conseillé de rester en silence jusqu’à ce qu’on lui autorise la parole. Au dixième degré, le bénédictin doit s’exprimer « doucement et sans rire, humblement et avec gravité, disant en peu de mots des choses raisonnables, évitant les éclats de voix ». La dernière étape est atteinte lorsque l’humilité transparaît à l’extérieur, dans l’attitude du moine. Une fois ces échelons gravis, il pourra lever les yeux vers le ciel pour agir non par crainte de l’enfer mais par amour du Christ.

Autre versant de l’obéissance, le silence est exigée au Chapitre 6 de la Règle. Les moines ne sont autorisés à parler que si on leur en donne le droit. Seul le maître a le droit de parler pour enseigner tandis que le disciple doit écouter en silence. Saint Benoît rappelle :

« C’est pourquoi, si l’on a quelque chose à demander au supérieur, on le fera avec toute l’humilité et la soumission qu’inspire le respect. Quant aux bouffonneries, aux paroles vaines et qui ne sont bonnes qu’à provoquer le rire, nous les condamnons à tout jamais et en tout lieu, et nous ne permettons pas au disciple d’ouvrir la bouche pour de tels propos. »

La règle de saint Benoît peut-elle s’adapter au monde laïc ?

La question a récemment taraudé l’orthodoxe américain Rod Dreher [25] dans son livre Comment être chrétien dans un monde qui ne l’est plus – Le pari Bénédictin [26]. Naturellement, l’auteur ne se concentre pas spécifiquement sur la règle bénédictine mais sur l’ordre de saint Benoît dans son ensemble. Il serait absurde d’appliquer stricto sensu la règle à des non religieux puisque le prêtre ou l’époux ne dépendent pas d’une règle pour se sanctifier. C’est dans le sacerdoce ou le mariage qu’ils accomplissent leur devoir envers Dieu. Toutefois, certains aspects de la règle, relevant du bon sens, peuvent tout à fait s’appliquer à n’importe quelle communauté : le respect des normes communautaires et de la hiérarchie sous peine de sanctions proportionnées pouvant aller jusqu’à l’éviction du membre réfractaire, la charité envers le frère de l’intérieur et celui de l’extérieur, la conscience que la communauté est supérieure à notre petite individualité, l’enracinement dans un lieu géographique déterminé ou encore l’éducation et l’instruction en fonction des talents de chacun.

L’application de ces principes au sein de n’importe quel groupe humain permet de mieux vivre en collectivité. À l’instar des moines, ils doivent avant tout servir à la contemplation divine, seul prélude à l’action politique extérieure. Sorte de base arrière où on se retrouve entre membres partageant les mêmes considérations spirituelles, voire politiques et de préférence issus de plus ou moins longue date du même terroir, le repli chrétien doit se concevoir comme une fortification de ses membres avant de se lancer dans la bataille mondaine qui nécessite force et patience. Les communautés locales et enracinées ont été successivement attaquées par l’uniformisation amorcée sous l’Ancien Régime dans le cadre de la nation puis éradiquées par le jacobinisme à la française. Il s’agit désormais d’écraser la communauté nationale sous le rouleau compresseur mondialiste. Refaire communauté, retrouver un lien communautaire parce qu’enraciné, voilà l’objectif donné aux chrétiens afin de s’armer spirituellement en vue de retourner combattre dans ce monde qui a tant besoin de la lumière de la Vérité.

Karl Peyrade

[1MOISSET Jean-Pierre, Histoire du catholicisme, Flammarion, Paris, 2006.

[2U. I. O. G. D : Ut in omnibus glorificetur Deus.

[3Sur la vie de saint Benoît, se reporter à la petite synthèse d’AYMARD Paul OSB, Petite vie de saint Benoît, DDB, Paris, 2008.

[4Mt 10, 22 ; Trad. Bible des Peuples par les abbés HURAULT, Éditions du Jubilé, 2002.

[51 Jean 4, 1 ; Trad. Bible des Peuples par les abbés HURAULT, Éditions du Jubilé, 2002.

[6Prologue de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[7Chap. 16 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[8RIGOLOT Irénée OSB, Commentaire de la Règle de saint Benoît, https://www.abbaye-timadeuc.fr/pdf/commentrb.pdf

[9Chap. 20 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[10Chap. 20 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[11RIGOLOT Irénée OSB, Commentaire de la Règle de saint Benoît, https://www.abbaye-timadeuc.fr/pdf/commentrb.pdf

[12Ibid.

[13Chap. 4 de la règle de St Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[14Chap. 7 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[15Chap. 33 de la règle de St Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[16Chap. 33 de la règle de St Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[17Chap. 37 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[18Chap. 39 et 40 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[19Chap. 53 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[20Chap. 5 de la règle de St Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[21Chap. 2 de la règle de St Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[22Chap. 71 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[23Chap. 23 à 29 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[24Chap. 7 de la règle de saint Benoît, trad. par les moines bénédictins de l’Abbaye de Maredsous, http://la.regle.org/

[26Artège, 2017.

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